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Les neurones, amateurs de rythme ?

Une recherche menée à l’université de Lund se penche sur la capacité du cerveau humain à traiter l’information et notamment des séries de stimulations séparées par intervalles réguliers.

Les chercheurs ont associé un son  à un jet d’air dans l’œil des sujets à différents intervalles : le jet d’air était envoyé 0.25s après le son, 0.5s après le son, causant le clignement des yeux.

Les scientifiques ont par la suite retiré le jet d’air et ont constaté que les patients réagissaient tout de même au son, clignant des yeux 0.25 ou 0.5s seconde plus tard, en fonction de l’intervalle auquel ils avaient été exposés, traduisant une capacité d’association entre deux stimulus à la manière du comportement Pavlovien, la différence étant la prise en compte de l’écart temporel. Reste à savoir si la partie du cervelet contrôlant le battement des paupières est la seule à disposer de cette capacité ou non.

On en apprend tous les jours, non ?
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